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Salina 48 : un grand bateau pour la grande croisière.

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Fountaine Pajot termine le renouvellement de sa gamme, initié avec le Lavezzi 40, par l’arrivée du Salina 48 ; ce bateau marque une nette évolution dans la tradition du chantier.

Tandis que son concurrent direct imposait sa vision du catamaran de croisière, en érigeant le volume habitable en véritable idéologie architecturale, raflant ainsi quelques parts de marché, le chantier de Aigrefeuille se devait de réagir : les Bahia et autres Belize étaient certes des bateaux marins, mais avec cependant nettement moins de volume qu’un Lagoon (pour ne pas les nommer) de même taille mais de nouvelle génération. Avec l’arrivée du Salina, Fountaine Pajot se replace dans la course au grand volume. « Deux années ont été nécessaires pour mettre ce bateau au point », nous dit Hélène de Fontainieu, responsable communication du chantier Rochelais. Alors, le Salina, successeur du Bahia ? « Il ne faut pas les comparer », continue Hélène, « les deux bateaux ont d’ailleurs cohabité une année au catalogue du chantier ». Le dessin a été confié au cabinet Berret Racoupeau, habitué des gros bateaux de chez Fountaine puisqu’on lui doit notamment le dessin à l’époque du Marquises 56, plus récemment le Eleuthera 60, sans oublier le prochain Galathéa 65, le ‘flag ship’ du chantier comme on se plaît à le nommer.

Essai Fountaine Pajot Salina 48

Le volume, c’est bien, mais un bateau à voile qui avance… à la voile...

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